Après quelques semaines de repos bien mérité, le blog sera de retour et avec lui, des films (injustement ou pas) boudés à leur sortie....et bien plus encore.
A bientôt !
Bienvenue sur "Deuxième Séance", blog consacré au cinéma, et plus précisément aux films n'ayant pas connu le succès (critique ou public) lors de leur sortie (à tort ou à raison)...
L'américaine Iris, superficielle et toujours sur les nerfs, et l'anglaise Amanda, romantique mais méprisée de celui qu'elle aime, échangent leurs maisons, le temps des vacances de Noël. Espérant éviter la fréquentation des hommes, les deux femmes vont cependant faire de nouvelles rencontres, chacune de leur côté : Iris va croiser le chemin du mystérieux frère d'Amanda, tandis qu'Amanda va se trouver nez à nez avec Miles, l'un des amis d'Iris. Tous ont leurs blessures, et vont apprendre à les soigner.
Pour qui aime les acteurs, "The Holiday" est un cadeau de Noël (valable à toute autre période de l'année cependant). Toute la distribution se délecte des rôles offerts par la réalisatrice. Divinement beaux, les acteurs principaux prennent le spectateur par le cœur, le séduisant dès leur première apparition à l'écran. Jude Law, touchant de sobriété, fera fondre le cœur de ces dames, tandis que les messieurs n'auront que l'embarras du choix entre la remarquable Kate Winslet ou l'effervescente (parfois un peu trop, d'ailleurs) Cameron Diaz. Dans des rôles secondaires, on notera la prestation de Rufus Sewell, en amant manipulateur, mais aussi du vétéran Eli Wallach, en vieux scénariste plein de sagesse et d'ironie. Les séquences avec l'inoubliable Tuco du merveilleux classique "Le bon, la brute et le truand" sont parmi les plus savoureuses de "The holiday".

Lisa, joueuse de soft-ball, est une battante en plus d'être ravissante. Alors qu'elle n'est pas retenue pour faire partie de l'équipe nationale, elle rencontre Matty, joueur de base-ball professionnel immature et égocentriste, qui va pourtant la charmer. De son côté, George voit sa carrière professionnelle s'effondrer, par la faute de son père (qui est aussi son patron). Alors qu'il risque de gros ennuis judiciaires, il croise la belle Lisa...
C'est sans doute à cause d'un script hésitant et qui aurait mérité d'être peaufiné que cette impression demeure tout au long du film. Vendu comme une comédie, "Comment savoir" a souvent un goût-amer qu'on ne s'attendait pas à lui trouver.![]() |